Dès mon plus jeune âge j'ai pris plaisir à me pervertir pour me mettre dans des situations difficiles. Attachée, je me sens libérée de tout, j'atteints le plaisir naturellement comme tout le monde mais si je suis attachée et un peu malmenée il est multiplié par 10. J'aime la délicieuse dictature des cordes, quand il m'attache je jouis de son corps et de son pouvoir de domination.

Personnellement, dans cette relation D/s, alors que je me rebellerais dans une relation normale avec une autre personne, face à mon Maître d'Amour, je n'y pense même pas. Et si d'aventure j'y pense, je ne le fais pas à cause de cette relation si particulière, cette dépendance que j'ai envers lui, ses actes et cette situation qu'il sait créer.

Nous avons exploré d'autres horizons comme l'échangisme pur et dur et les clubs libertins mais je ne m'y retrouve pas, les mecs ne m'intéressent pas et les filles non plus d'ailleurs.

Glissant de plus en plus dans les abîmes creusés par mes fantasmes, j'ai fini par avouer à mon Maître d'Amour rencontré sur le réseau fessestivites que le fait d'être immobilisée et offerte à la merci d'hommes qui me feraient l'amour me déclenche toujours de troubles sensations.

Devant mes instances à vouloir vivre la sensation d'être un objet sexuel livré sans défense dans nos jeux, Michel a fini par « céder » et me proposer de m'organiser un gang bang chez nous. Après des heures de discussions qui avaient principalement pour but de le rassurer sur mon amour pour lui, il m'a indiqué pour me faire peur que s'il y parvenait, je n'aurai aucune échappatoire possible. C'est justement ça qui m'excite et me rend dingue de savoir que je ne pourrai pas m'échapper et devrai subir les caprices et désirs pervers d'hommes décidés à profiter de moi.

En « échange » de ce qu'il acceptait d'organiser pour moi, Mon Maître en a profité pour m'imposer des tonnes de trucs et entre autre, aller lécher la goutte quand il a fini de faire pipi. Ce fut assez dur pour moi, mais je l'ai fait pour lui car si un autre homme m'avait demandé ça, je l'aurai giflé.

Le jour J, il m'a ordonné de me mettre à genoux aux pieds du lit, si j'allais enfin vivre mon fantasme, j'étais quand même un peu inquiète. Avec beaucoup d'amour et de bisous tendres, il a lié mes poignets puis a commencé à m'allumer avant de me bander les yeux puis de me planter là. Même l'air sur ma peau m'excitait, je m'en souviens car je me suis traitée de folle.

Très vite je me suis aussi quand même mis à appréhender l'inconnu dans lequel j'allai avoir la vedette.

A chaque coup de sonnette je bondissais dans les liens en me demandant combien de mecs il avait trouvé. Je n'ai entendu que trois sonnettes mais ils étaient quatre comme j'ai pu le constater après. Au départ j'ai du sucer une belle bite rapidement rejoint par une seconde, quand ils se sont acharnés pour me les mettre en même temps dans la bouche j'ai compris que je m'étais réellement jetée dans la gueule du loup et que Michel ne m'épargnerait rien. Caressée par toutes ces mains dont certaines me malaxaient les seins comme si elles pétrissaient du pain, j'ai éprouvé quelques moments de flottement mais mon Maître s'est attaqué à mon minou et là, je baignais dans d'innombrables voluptés, ces voluptés inexplicables. L'un d'eux semble-t-il inquiet a voulu savoir pourquoi j'étais entravée. Mon

• Plus on l'entrave plus elle est excitée, mets ta main entre ses cuisses si tu veux en avoir la preuve ! Lui a répondu mon Maître d'Amour.

Cette phrase m'a mise face au miroir de mes fantasmes avec une facette sur la moralité qui m'a perturbée quelques instants. « Suis-je une salope ou une malade mentale » est la question qui m'a traversée l'esprit. Michel m'a libérée un instant pour me dévêtir totalement puis me lier les poignets est les cuisses. Lorsqu'il m'a mise à quatre pattes sur le lit, là je me suis réellement sentie « chienne ». Il m'était impossible de redescendre les pieds sur le lit sans offrir mon intimité aux sexes qui sans nul doute allaient s'acharner sur le mien. Les choses n'ont pas tardée, un homme m'a prise sans tarder pendant qu'un autre me logeait son sexe dans la bouche. Ils me prenaient à tour de rôle sans jouir, un peu comme s'il ma chatte était l'entrée dans le menu.

J'étais une vraie chienne en chaleur même si à certains moments je m'accrochais aux sexes f o r ç a n t ma bouche quand ils étaient un peu brutaux. Dans ces moments là, l'extase qu'on ressent est telle qu'on a l'impression de basculer dans un autre univers.

Un doigt gras et s'est insinué dans son anus lentement avec comme évidente volonté de me lubrifier ? L'idée que j'allai être f o r c é e  par derrière comme une bête devant et par tous ces hommes me rendait malade de honte mais cette honte me donnait chaud à la tête. Il est très difficile pour moi de trouver les mots pour expliquer ce que j'ai ressenti mais quelque chose de pervers animait mon bas ventre délaissé.

Un gland s'est rapidement posé contre mon cul et a commencé à pousser. Mon anus commençait à céder sous la pression impitoyable de la verge malgré l'étroitesse de mes petites fesses qui semblaient refuser sa verge de grosse taille qui me distendait totalement. D'une seule poussée il s'est enfoncé en moi-même si j'étais encore contractée. J'ai eu mal et j'ai crié mais il n'en avait que faire. L'homme s'est mis aussitôt à me labourer à grands coups de reins, m'obligeant à m'agripper au sexe que j'avais dans la bouche pour me maintenir en position sous peine de s'étouffer.

La douleur fut rapidement supplantée par la montée du plaisir, les liens, je dois bien l'avouer participaient de l'effet plaisant ressenti. Mon Maître écarta mes fesses et demanda à haute voix qui voulait passer par là. Quelle honte, mais en même temps, me sentir ainsi offerte ravageait toutes mes pensées qui se bousculaient. Quand ils ont libéré mes jambes que m'ont faite asseoir sur une autre bite qui cette fois s'est engouffrée sans difficulté pour mon étroit conduit j'ai compris que j'allai vivre mon autre fantasme : être prise par deux sexes en même temps. Et là, comme si c'était une habitude pour moi, ils se sont acharnés sur moi. Prise de partout mon cerveau ne savait plus où donner de la tête !

En même temps l'extase de ce double coït sauvage et de ces pipes volées, arrachées sauvagement à ma bouche me transportaient au septième ciel. Je n'étais plus moi-même, je n'étais qu'une esclave consentante qui cherchait le coït et la sodomie. Tournée et retournée dans tous les sens, ils m'ont fait explorer toutes les positions du kamasoutra mais version sauvage comme des primates déchainés.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, malgré la douleur qui irradiait parfois de mes orifices malmenés j'éprouvais des bouffées de pur plaisir à en avoir les jambes qui tremblent. Le sentir aller et venir dans ma bouche, au fond de mon vagin dégoulinant de désir, les accueillir dans mon cul que je sentais palpiter comme s'il était doué d'une vie propre puis les sentir inonder ma poitrine ou mon visage de leur nectar m'a totalement faite disjoncter. A un moment j'en pleurais tellement c'était fort mais je ne lâchais pas pour autant la bitte de Mon Maître dont je me sustentais.

Ils m'ont offert une coupe de champagne mais ne ils ne se sont pas éternisés avec nous, à peine bue, ils se sont éclipsés pour nous laisser seuls. J'ai appris que leur départ rapide avait été souhaité par mon Maître d'Amour.

Mon Maître je vous Aime.

Témoignage recueillit par TSM, journaliste de Fessestivites

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